Le monde selon Merichan & les choiseaux 3.0

Les choiseaux sont de retour, maintenant en direct de la Valaisie

collage of BB8 being himself, a fat derpy ginger and white cat

Le mouvement perpétuel…

Et autres brèves*…

Tout a commencé l’autre jour, quand je me suis effroyablement frustrée du fait c’est devenu vraiment chiant le streaming. Il fut un temps où c’était une solution simple et élégante. Tu avais une ou deux souscriptions, et accès à quasi tout ce que tu voulais. Mais évidemment c’était trop beau pour durer, et tout le bordel du câble, satellite etc. s’est reporté sur le streaming. Donc que quand tu veux voir un truc, tu dois faire le tour de 24 souscriptions ( j’exagère à peine) pour savoir si tu as quelque part le truc que tu veux voir.

Des fois je regrette le bon vieux temps du vidéoclub. Non sérieusement.

L’occasion de se poser des questions sur le mouvement perpétuel à la portée de l’Homme ( comme disait ce grand philosophe qu’est JC Van Damme) et notre capacité à encore et encore pourrir une grande idée juste pour en tirer un maximum de pognon.

Bon et du coup tu regardes quoi ces temps?

Le documentaire netflix sur Jerry Springer. Parce que déjà à l’époque le concept m’avait fasciné. Je ne comprenais pas comment mes frères pouvaient rester devant. ( il était rediffusé sur AB1 si je me souviens bien). Je comprends toujours pas cette compulsion humaine de se nourrir d’outrage. De ne pas pouvoir détacher ses yeux d’un accident qui se déroule sous nos yeux.

En attendant j’étais une gamine devant Jerry Springer.

Et donc, de voir le documentaire cette page de l’histoire télévisuelle -aussi trash soit-elle – c’est marrant et fascinant. Ça glisse à sa juste place de l’Histoire ces trucs par rapport à moi.. Un peu comme tu regardes un documentaire sur la chute du mur ou un autre truc relativement contemporain encore.

Non parce qu’autant on peut cracher sur le show, autant il est pivotal dans l’état moderne de la télévision. Sans lui, quid de la trash-itude des générations actuelles d’émissions de télé réalité?

Bref, le documentaire lui me fascine. Et puis en plus là j’ai vraiment fini de voir tous les documentaires possibles et imaginables sur l’éruption de 2019 en Nouvelle-Zélande.

Côté fiction

J’ai dévoré les 3 ( heureusement courtes) saisons de A discovery of Witches. On va dire qu’il m’a fallu ruser avec la localisation géographique de mon ordinateur pour accéder aux dites saisons… Et oui la diatribe de début de billet vient de là.

Du coup j’ai mis les livres sur ma liste de lecture. Faut dire que l’autrice a continué la série, donc qu’il y a 2 livres qui ne sont pas couverts par la série TV, dans le genre argument irrésistible. Et puis tout aussi irrésistible, c’est le fait que c’est l’incursion dans la fiction d’une académique.

Bon du coup aussi, j’ai mis dans ma rotation musique du moment Fleetwood Mac. Enfin je veux dire plus de Fleetwood Mac. Y’en a souvent un peu merci Taylor Swift qui réveille mes souvenirs d’enfance. J’ai aussi mis quelques morceaux de Massive Attack, dont Teardrop.

Ensuite, j’ai la première saison de l’adaptation des sorcières Mayfair d’Anne Rice dans mon pipeline, et terminer la première saison d’Alex Cross sur prime.

collage of 3 pictures of felix and cuddles sleeping together in different positions


Côté maison

Après plusieurs jours de douceur presque printanière, l’hiver a fait une petite incursion. On a eu de la neige vendredi, juste assez pour que Patchi nous explique que d’abord il n’a pas besoin de faire plus que vider sa vessie, et qu’il préfère la strangulation par laisse tirée que de mettre une patte supplémentaire dans la bouillasse sur le sol.

Il est un peu dramatique Patchi…

Superchéri fait sa rentrée aujourd’hui. Il remonte son temps de travail à 50%. Heidi a assez inévitablement enchainé son coup de déprime par un coup de maladie. Comment dire, elle est EN-CHAN-TEE. Basil a fait ses 20 ans et a trouvé le boulot qui va lui permettre de remettre ses économies d’aplomb pour revenir d’ici quelques mois.

On regarde les actualités de loin, à petite dose. Faut dire que 2025 commence un peu comme un mauvais reboot de 2020: des gros incendies, une pandémie qui menace…

J’ai défait encore 4 cartons de livres qui me restaient ( au prix de ne pas pouvoir tous les aligner comme je veux pour le moment) mais clairement il me reste encore des livres qui me manquent, donc il doit y avoir un carton égaré quelque part, ou plus probablement des livres égarés au milieu d’autres trucs.

Donc au moins dans mes positifs de la semaine, je peux cocher le fait que l’installation de mon nid dans les combles progresse.

Je crois qu’il ne me reste qu’à conclure ce billet et vous souhaiter une belle journée, un beau début de semaine.

Soyez indulgents envers vous-mêmes et prenez le temps de chercher dans vos journées tous les jours un moment de calme et de bon.

Ne serait-ce que regarder les montagnes enneigées le temps d’un café, ou se dire qu’ils sont adorables en photos mes chats…









*Z’avez vu… dans les 800 mots, c’était des vraies brèves pour le coup! Ne prenez pas trop l’habitude, on sait jamais quand est-ce que ça se reproduira!

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