Bon bin 4 ans grosso modo que j’étais plus en ligne, même si je passais toujours de temps en temps sur Instagram.
QUOI? Vous étiez pas sur instagram? Ni même sur la page facebook qui reprenait les photos, enfin quand la fonction partage fonctionne correctement et que ça envoie pas le tout sur ma fichue page personnelle?
Mais maintenant c’est fini, je suis de retour… Enfin ça recommence… je suppose que vous appréciez différemment l’annonce selon d’où vous vous situez dans le spectre de je-peux-pas-vivre-sans-écrits à Purée-elle-a-encore-pondu-un-pavé…
Bon alors, quoi de neuf?
Alors si vous suiviez pas la page instagram ou l’excuse qui me sert de compte FB perso, vous allez avoir un choc.
On s’est laissé début 2021 à Singapour, pandémie de Covid, une petite douzaine de choiseaux, une Heidi mineure, des projets plein la tête, bla bla bla… MAIS aussi un gigantesque burn-out pour moi.
Un burnout qui est passé comme un ouragan et qui a tout pris, comme la capacité de finir une entrée de blog dont j’étais satisfaite, ou ma capacité de gérer une erreur de facturation sans laisser tout le blog se faire détruire parce que tu comprends, de toute façon il est pas comme il faut et je suis incapable de le mettre à jour parce que c’est trop compliqué, j’arrive plus à gérer.
La peur paralysante de décevoir, de ne pas être à la hauteur. C’était plus rationnel, mais bien viscéral et tous mes efforts pour me désembourber ne faisaient qu’empirer la situation et me couper encore plus de la capacité d’écrire.
Alors sagement j’ai rangé les archives en sécurité, et j’ai laissé glisser.
Pris le temps de vivre, laissé glisser encore et pris aussi un peu le taureau par les cornes.
J’ai officialisé mon diagnostic d’autisme.
Si Si!
J’ai un beau papier officiel qui dit que je le suis. Et putain, ça m’a fait un bien fou. Parce qu’à défaut de réussir à reprendre l’écriture, ça faisait au moins taire la petite voix pernicieuse qui me minait en douce sur le fait que je n’étais pas légitime et que je devrais avoir honte de parler de ce que je ne peux pas prouver.
Et puis ça a amené un copain surprise… le TDAH. Lui, honnêtement, il m’a sauté à la figure sans préavis et fait faire un bond de plusieurs mètres! Jusqu’à être en plein dans mes questionnaires et de mettre plein de croix dans des cases qui confirmaient des sérieux soucis d’attention, ce qui m’a mis, un peu, la puce à l’oreille, je me voyais sincèrement comme autiste oui, mais pas TDAH, c’est juste que j’étais habituée à fonctionner chroniquement sous stress et fatigue et sensation de déplacer des montagnes tous les jours.
L’idée que ces deux dernières lignes se traduisent en “ a toujours fonctionné tant bien que mal avec un TDAH non diagnostiqué”, ça ne m’avait honnêtement jamais percuté.
Je voyais les traits TDAH chez Heidi, mais pas chez moi.
Un choc salvateur plus tard,
la réalisation que ce putain de TDAH de merde était complètement hors de contrôle à cause du burnout, dont il était partiellement la cause. Dans le genre serpent qui se mord la queue, elle est pas mal celle-ci!
Et puis, qu’il n’était pas arrivé seul. La périménopause était entrée sans frapper et purée elle prenait ses aises.
( je me réjouis de vice-versa 36* quand ils mettront à jour la console des émotions avec perimenopause aux commandes… la salope!
Nan mais je vous jure, Anxiété finalement elle était sympa et facile à gérer avant l’arrivée de cette putain de périmenopause. )
Donc bam des tonnes d’examens médicaux, nan mais je vous jure, d’autant plus que j’avais un papilloma actif à surveiller…
(Qui n’adore pas aller se faire gratter le col de l’utérus à la petite brosse à chiottes tous les 6 mois sans anesthésie avec des fois des biopsies en cadeau bonus, pendant 2- 3 ans je voyais plus de gynécologues que ce que j’en avais vu pendant ma grossesse, et oui j’exagère un peu quand même)
…tout ça pour s’entendre dire que techniquement je suis toujours dans les normes pour mon âge. Le bas de la norme soit, mais la norme, donc rien à faire si ce n’est revenir dans un an voire plus vite si les symptômes s’aggravent.
Alors tu cherches un peu à gauche et à droite…
Parce que putain la menopause tu connaissais mais la périmenopause c’est quoi cette merde qui sort de nulle part?
Oops je pars un peu en tangente, je sens que j’ai assez pour 2 billets rien qu’à m’épancher là-dessus, donc on va refermer la parenthèse et revenir à nos moutons nez noirs du Valais.**
Donc j’en étais où…
Ah oui, la pandémie, la vie toussa toussa… et un virus qui nous prend un peu par surprise fin 2021 de tâter le terrain avec le boulot de Superchéri de savoir s’il pourrait continuer de faire son boulot depuis ailleurs, genre la Suisse… enfin plus précisément le Valais.
Merci le télétravail.
Faut dire qu’en 2021, ma grand-mère du Valais est entrée en EMS ( un EHPAD pour nos amis Français qui me lisent…) et il faut qu’elle loue sa maison pour rentrer dans ses frais.
On fête Noël, Nouvel-An, au Nouvel an Lunaire de 2022 on commence vaguement à se douter que les choses pourraient se goupiller et se goupiller plus vite que prévu.
Et on a l’impression douce amère que c’est potentiellement la dernière fois qu’on le fait dans ce condo qui a été notre maison depuis plus de 5 ans avec nos meilleurs amis ( la famille à mi-temps d’Heidi si vous aviez des doutes.***)
Et quelques semaines plus tard, la machine du retour vers la Suisse donne un coup d’accélérateur, c’est confirmé pour le premier août 2022…
Problème 1 notre bail actuel ne court que jusqu’en mai, heureusement notre propriétaire nous accorde 3 mois d’extension, ce qui nous ôte une épine du pied…
Problème 2 bon bin, va falloir organiser le fait d’exporter les choiseaux!!!!!
Là aussi je sens que j’ai plein de billets potentiels pour m’étaler sur le sujet en détail, mais on va dire que l’aventure a été épique!
Aussi fou que ça puisse paraitre, on débarque en Suisse et en Valaisie début aout 2022,
après 16 ans hors de Suisse, et fort de toute notre ménagerie, qui supporte étonnamment bien le trajet. Et soutenu par la famille et les amis proches qui nous aident à gérer l’arrivée…
( genre comment déplacer 4 valises et 7 cages d’animaux de Zurich au Valais alors que tu conduis pas/ plus depuis longtemps et que tu as de la fatigue, un décalage horaire et 12 heures de vol dans les pattes
Ou encore comment avoir des cages prêtes pour les oiseaux, surtout sachant que les cages dignes de ce nom à prix raisonnable que tu convoites ne sont livrées qu’en France…
Ou que tu arrives dans une maison pas mal vide, à la veille du week-end donc qu’on t’achète les essentiels et de quoi peupler un peu la cuisine, surtout que tu as du choisir assez drastiquement ce que tu ramenais et que ça arrivera dans des mois. )
J’ai pas de mots pour dire combien toutes les personnes qui ont répondu présents pour nous, et nous ont aidé en amont ou après à changer un crash inévitable et en effondrement en larmes à en remplir le lac en un atterrissage un peu chaud mais somme toute réussi!
Une page se tourne, on laisse Singapour derrière avec l’impression d’y avoir laissé une part de nous, mais on se jette tête la première dans les aventures des choiseaux en Valaisie.
Et étonnamment nos douze choiseaux des tropiques qui ont jamais connu une température de moins de 20 degrés, kiffent grave leur nouvelle vie
Là aussi potentiellement des billets à en pleuvoir, mais à la louche, on va dire que tout le monde va bien…
Patch a découvert du haut de ses presque 14 ans qu’en fait il était pas encore si vieux et qu’il n’était pas fait pour la chaleur, mais bien pour un climat tempéré. Il a découvert des tonnes de trucs, et jusqu’à cet été 2024 ça lui a donné une seconde jeunesse…
Cet été, le temps qui passe l’a un peu rattrapé, et il fait maintenant bien ses 15 ans et demi, un peu aveugle, de plus en plus sourd et une arthrose qui peut le paralyser de douleurs. Le fait qu’il décline un peu cognitivement parlant…
Après des mois à rétrécir inexorablement son monde, on a finalement investi dans une poussette tout-terrain, et on le reprend partout avec, fuck ses limites… il n’est pas encore mort, donc on va profiter du temps qu’il nous reste avec lui!
Et on va dire qu’il prend au moins autant ses pattes que la grand-mère grabataire et en fin de vie que sa petite fille a mis dans son camper et qui est partie avec pour faire le tour d’autant de pays que possibles du haut de ses 101 ans****.
Parce qu’attendre la mort ne veut pas dire qu’on a pas encore plein de vie à vivre.
Les chats, eux ont collectivement découvert les joies de sortir et rentrer à leur guise. Ils ont chacun fait ça à leur rythme.
Bagheera, notre adorable terreur noire, s’est très vite rappelé qu’il était le roi du kampong*****, et il s’est approprié un domaine conséquent, et est allé expliquer à plein d’autres humains et d’autres chats qu’il était maintenant le boss du coin.
Si si. Dans toute la splendeur édentée, il a fait le nombre de bagarres nécessaires pour expliquer qu’il y avait un nouveau boss in da village. Le culot de ce chat, c’est vraiment un gangster…
Et puis aussi que ses nouveaux sujets humains avaient maintenant des obligations, et qu’une dime en gratouilles et compliments divers serait régulièrement prélevée. ( Au stade ou il y a eu des messages dans le groupe FB du village pour savoir à qui était cette pauvre chatte abandonnée qui pleurait pour de la nourriture et des câlins de manière aussi déchirante et essayait de rentrer chez tout le monde)
Cuddles, Felix et Marichat, ont apprivoisé plus doucement l’extérieur… parce que ça fait quand même bien peur tout ça…
Nala, elle, y a pris goût, Elle a adoré la neige, adore le grand air… et puis au fil des mois elle en a aussi profité pour éviter de plus en plus la maison plutôt que de trouver l’énergie de faire avec les pressions sociales du groupe.
Etat des lieux automne 2024, elle a déménagé à 20 mètres, elle s’est trouvé un humain sans chat et il lui a expliqué ce qui lui manquait dans sa vie. Elle revient régulièrement le temps qu’un câlin ET d’un snack, voire même carrément du souper si par hasard son nouvel humain principal a le culot de travailler tard ou d’avoir une vie sociale et de la faire attendre pour sa pâtée…
A l’opposé du spectre, on avait enfin BB8, notre bébé quarantaine et ses 8kgs de trouille professionnelle. Pour lui, pendant des mois, sortir a consisté à se poser sur le rebord de la fenêtre.
Des fois, si tous les autres chats étaient dans le jardin, après avoir tergiversé pendant au moins une demi-heure, il osait poser ses pattes dans l’herbe.
A ce jour, il ne sort que s’il n’y a pas d’humains visibles… genre au milieu de la nuit… et toute sortie pendant la journée peut encore finir en pleurs déchirants pour qu’on vienne le sauver parce que tu comprends un des voisins trafique dans sa voiture et ça lui fait peur et du coup il ose plus retraverser le parking pour rentrer à la maison!
Au péril de notre peau…
Du côté des plumées…
Sisu et Eleven, les dernières arrivées en 2021, ( ajoutées pour fournir à Peach notre inséparable la compagnie de son espèce dont il avait besoin parce que non, il ne pouvait pas juste continuer à essayer de persuader Blue d’enfin retourner son amour… ) ont maturé, se sont promptement mises en couple. En bon couple lesbien aviaire qui se respecte, elles en profitent pour nous pondre des couvées de 12 oeufs.
Au moins 2 fois par an… parce que pour une raison étrange sur laquelle elles n’arrivent pas à mettre le doigt, leurs oeufs n’éclosent jamais…
Bon moi ça m’arrange, pas besoin de manipulation machiavélique du genre échanger les oeufs contre des faux en plastique dans leur dos… les choiseaux à la douzaine ça m’allait bien… plus question d’augmenter le cheptel!
Famous last words…
A être passées dans la période reproductrice de leur vie, Sisu et Eleven ont chassé Peach de leur cage, et l’ont déplumé d’un peu partout pour pas qu’il ait le culot de continuer à vivre chez elles.
Du coup, cet été, après un bilan de santé pour Peach, on a ajouté Eve ( prononcer comme dans Wall-E iiiiiiiiiva ou à la française èèèèèèèèveuuuuh parce que tu comprends elle est presque blanche tellement elle est pâle mais qu’elle montre par le caractère pour se faire appeler Blanche-Neige) pour remettre quelqu’un dans la vie de Peach et faire peut-être en sorte qu’il cesse de s’arracher continuellement les plumes que les 2 pestes lui avaient arraché quelques mois plus tôt.
Blue et Bazinga vont bien,
… sont toujours persuadées que Superchéri est l’homme de leur vie, crient sur tous les étrangers qui rentrent dans la maison, et n’hésitent pas à le faire savoir aux fêtes de famille ou chaque fois qu’on a l’outrecuidance de laisser rentrer quelqu’un dans la maison.
Une fois dehors – ouiiii on a repris les balades en extérieur avec la laisse aussi longtemps que la température n’est pas trop basse, on sort aussi souvent que possible – par contre elles tolèrent un peu plus les gens, enfin tant qu’ils essaient pas de leur vendre le concept d’essayer de les toucher.
Correction: Bazinga tolère, parce qu’après tout elle est faite pour être admirée et elle adore être le centre de l’attention.
Blue, elle, supporte tant bien que mal de socialiser quelques secondes, mais faut pas exagérer, d’abord si on est dehors c’est qu’on a des trucs importants à faire. Comme vérifier la couleur et la force de la Losentze – le torrent du coin – et si le St-André son affluent est à sec, boueux ou en furie…
Faut aussi voir quels engins de chantier la commune a dehors à leur depot, un tractopelle c’est chouette!
M’enfin, on ne sort pas pour papoter pendant des heures avec des gens!!!
2 ans maintenant qu’on est en Valaisie…
Et c’est comme un rêve de gosse qui se réalise pour moi, littéralement…
( Si si, entre deux déclarations chocs du genre reprendre mon arrière-grand-mère valaisanne catholique pratiquante du presque-siècle-d’avant et lui dire du haut de mes 3 pommes que d’abord elle est en train de dire une bêtise parce qu’il n’y a pas besoin d’être mariés pour pouvoir faire des enfants… Du haut de mes 3 pommes, j’expliquais aussi à qui voulait l’entendre que quand je serais vieille moi aussi je vivrais en Valais)
On a déménagé de la maison de ma grand-mère à notre maison… qu’on rénove petit à petit… et pour la première fois depuis des décennies, j’ai mon coin que je m’éclate à organiser comme ça me fait plaisir.
J’ai enterré mes deux grands-mères, celle du Valais quelques mois à peine après notre arrivée, et celle d’Espagne en janvier de cette année, après la mort de son compagnon printemps 2023.
Heidi a fêté ses 18 ans, est tombée amoureuse d’un écossais, s’est mariée… si si… le lendemain de ses 20 ans! Elle est toujours à la maison pour le moment, mais dès que mon gendre –lol purée j’ai un gendre moi maintenant – a fini sa formation actuelle, elle va passer autant de temps que possible au Royaume-Uni et s’y installer à plein temps dès qu’elle finit de gérer certains trucs en Suisse.
Bon du coup, comme le gendre est allergique aux chiens et aux chats ( du coup je vous dis pas ce que les poilus de la maison l’adorent et le suivent à la trace quand il vient à la maison) à priori, je me prépare mentalement pour des petits-enfants plumés…
( ouais parce que de nos jours, viva l’effondrement programmé de notre société et notre future descente dans l’anarchie au terme de la plus grande période continue de paix jamais connue de l’histoire de l’Europe centrale, avec des relents aigres de 3ieme guerre mondiale… les animaux sont les nouveaux enfants, les plantes les nouveaux animaux de compagnie et les enfants humains un espèce d’animal exotique ou NAC que tu as que si tu as un grain et/ou un solide budget… au grand drame de ma Maminou qui du coup n’a que 2 petites-filles à ce jour… )
… Moi qui passe mon temps à dire que putain j’en ai soupé des oiseaux, et plus jamais on me reprendra a amasser une telle quantité d’animaux… quelque chose me dit que ne plus en avoir dans ma vie c’est pas encore pour demain.
Pis bon, elles sont attachantes mes sales pestes plumées…
En gros, je crois que j’ai couvert le plus vital des événements de ces quasi 4 ans, enfin ceux que je peux partager sans avoir vérifié avec les intéressés concernés qu’ils sont bien d’accord de finir sur mes pixels via mon regard sur leur vie.
Ah oui, et du coup on retourne vite au début du billet, et on boucle la boucle,
Parce qu’après plus de 3 ans à me noyer dans des verres d’eau, ne plus arriver à sortir le moindre mot, de ne plus arriver à faire une phrase complète dans la même langue dans ma tête…
J’ai fini par me lancer et demander à mon généraliste de tester un traitement pour le TDAH…
Et c’est pas que ce soit le jour et la nuit, mais c’est tout comme… la preuve… non seulement j’ai réussi à pondre ce pavé.
Mais en plus j’ai réussi à remettre un site basique en ligne, et d’y poster ce billet…
Là aussi y’a des billets qu’il n’y a plus le temps de faire parce que les petits trucs en marge de ma page web pleurnichent que d’abord personne n’aime lire des longues phrases et des longs billets donc que mon texte est nul ( je paraphrase mais l’optimisation web c’est pas devenu plus mon amie en 4 ans) Et puis surtout parce que c’est pas tout ça mais j’ai pas encore écrit mon quota de fiction du jour… ouiiiiiii je me suis aussi remise à écrire mes petits projets secrets…
Pas envie de me porter la poisse, mais je suis très timidement optimiste que peut-être si tout continue sur sa lancée, on touche du bois… j’ai enfin une vraie chance de m’y remettre et persévérer. Sans doute le fait qu’avec le traitement je m’entends enfin penser pour la première fois depuis des plombes.
Quid des archives? Elles sont en sécurité dans un back-up quelque part.
Comme je l’avais fait à l’époque des chroniques hongkongaises qui été nées d’un forum avant de prendre leur envol sur le blog, je pense que je vais les remettre en ligne petit à petit.
Un petit regard dessus, histoire de regarder si tout est toujours pertinent et racontable, sera probablement au programme… Donc je vais pas vous donner de date pour quand elles arriveront!
Dans le pipeline aussi des billets-qui-auraient-été écrit pendant le néant, si j’avais pu vous allez voir elles ont été remplies ces 4 années, pis les nouvelles aventures bien entendu…
Allez, je vous souhaite une belle journée, une belle semaine… et à la prochaine!
*Vice-Versa, pour les non-pixarophiles c’est le film d’animation ou les émotions sont personnifiées
**Les moutons nez noirs sont endémiques au Valais, ils sont juste adorable.
***La famille à mi-temps d’Heidi c’est les voisins du condo chez qui elle était allée se faire adopter, promis je remets cette archive-là en priorité
****Le livre écrit de l’expérience de cette petite fille et sa grand-mère est là
*****kampong = village en Malais
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